Chefs de la défense, réunie à Paris pour lutter contre IK
Chefs de la défense, réunie à Paris pour lutter contre IK
Chefs de la défense des États-Unis, la France, la Grande-Bretagne et d'autres quatre pays réunis à Paris aujourd'hui pour examiner les moyens d'accélérer leurs succès contre la République islamique (IR), avec des plans possibles incluent l'augmentation du nombre de policiers et de militaires formateurs.
Le secrétaire américain à la Défense laisser Carter a décrit la réunion comme une occasion pour des discussions individuelles entre les principaux intervenants de l'alliance dans laquelle les États-Unis-LED et qui comprend également l'Allemagne, l'Italie, l'Australie et les Pays-Bas.
«Je vais leur demander leur avis et je vais les décrire mes pensées sur la façon dont nous pouvons accélérer la campagne (contre IK), qui comprend une variété de capacités, les capacités militaires qui seront nécessaires», a déclaré Carter, en prévoyant une augmentation du nombre de formateurs dans les mois à venir, et la police qui peuvent aider à préserver les sols conquérir l'État islamique.
La France a été le premier pays a déclaré la participation à l'alliance sous la direction des États-Unis en Irak. Depuis les attentats à Paris de IK en Novembre, le président François Hollande a exacerbé les opérations aériennes françaises contre IK et la Syrie, qui contribuent à environ 20% de toutes les attaques de l'alliance.
Il est révélateur que aucun Etat arabe dans la région ne participe pas à la réunion. Un haut responsable américain de la défense a déclaré que de nombreux alliés arabes sont occupés maintenant sous la direction de l'Arabie saoudite contre les combattants hutus au Yémen.
Carter a dit qu'il demanderait une plus grande participation des Arabes sunnites, un grand nombre voient avec suspicion le gouvernement chiite que le soutien américain à Bagdad. Ils reprochent également à l'Amérique attitude tiède contre le président syrien Bachar al-Assad.
Fonctionnaire de la défense française qui a parlé sous le régime de l'anonymat a déclaré l'alliance empêché d'augmenter les attaques aériennes en raison de l'effort fait pour éviter les pertes civiles.
La réunion, at-il dit, "ce ne sont pas les attentats aucun plan, mais de donner une impulsion au militaire désorganisé la structure de gestion (l'Etat islamique) et dépouillé de ressources économiques."
Chefs de la défense des États-Unis, la France, la Grande-Bretagne et d'autres quatre pays réunis à Paris aujourd'hui pour examiner les moyens d'accélérer leurs succès contre la République islamique (IR), avec des plans possibles incluent l'augmentation du nombre de policiers et de militaires formateurs.
Le secrétaire américain à la Défense laisser Carter a décrit la réunion comme une occasion pour des discussions individuelles entre les principaux intervenants de l'alliance dans laquelle les États-Unis-LED et qui comprend également l'Allemagne, l'Italie, l'Australie et les Pays-Bas.
«Je vais leur demander leur avis et je vais les décrire mes pensées sur la façon dont nous pouvons accélérer la campagne (contre IK), qui comprend une variété de capacités, les capacités militaires qui seront nécessaires», a déclaré Carter, en prévoyant une augmentation du nombre de formateurs dans les mois à venir, et la police qui peuvent aider à préserver les sols conquérir l'État islamique.
La France a été le premier pays a déclaré la participation à l'alliance sous la direction des États-Unis en Irak. Depuis les attentats à Paris de IK en Novembre, le président François Hollande a exacerbé les opérations aériennes françaises contre IK et la Syrie, qui contribuent à environ 20% de toutes les attaques de l'alliance.
Il est révélateur que aucun Etat arabe dans la région ne participe pas à la réunion. Un haut responsable américain de la défense a déclaré que de nombreux alliés arabes sont occupés maintenant sous la direction de l'Arabie saoudite contre les combattants hutus au Yémen.
Carter a dit qu'il demanderait une plus grande participation des Arabes sunnites, un grand nombre voient avec suspicion le gouvernement chiite que le soutien américain à Bagdad. Ils reprochent également à l'Amérique attitude tiède contre le président syrien Bachar al-Assad.
Fonctionnaire de la défense française qui a parlé sous le régime de l'anonymat a déclaré l'alliance empêché d'augmenter les attaques aériennes en raison de l'effort fait pour éviter les pertes civiles.
La réunion, at-il dit, "ce ne sont pas les attentats aucun plan, mais de donner une impulsion au militaire désorganisé la structure de gestion (l'Etat islamique) et dépouillé de ressources économiques."
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