Chaos et la tension dans Idomeni - coincées mille immigrés
Chaos et la tension dans Idomeni - coincées mille immigrés
En terminant rail a progressé, il y a un certain temps, un groupe afghan Idomeni. Environ 150 personnes ont jeté des clôtures le long des lignes de chemin de fer, près du camp de Eidomeni pour protester contre l'interdiction de franchir la zone neutre.
Les Afghans étaient assis sur les lignes, déclarant déterminé à ne pas laisser, si pas autorisés à poursuivre leur voyage.
A quelques kilomètres de la frontière, des centaines d'Afghans qui ont voyagé pendant des mois de leur patrie, ils voient se dissiper leurs espoirs d'atteindre leur propre terre promise ...
Afghans enfermés dans un souffle du «rêve européen».
Au-dessus de la zone neutre Grèce - ARYM joué les derniers jours un autre drame: les gens qui ont voyagé des milliers de kilomètres de l'Afghanistan, crumble lorsque la police leur voisin dit que maintenant ne peut pas passer. Cela se traduit par la création de la frustration, que lorsque les Afghans se rendent compte qu'ils sont pris au piège, de protestation et provoqué des tensions.
D'autre part, à la station d'essence à la hauteur de Kilkis, qui ont débarqué plus de 3500 réfugiés, en attendant de les transporter de la zone neutre, des centaines de désespérés de retard prolongé, chargés de leurs maigres biens, ils obtiennent de leurs enfants main et début à pied pour parcourir la distance de 20 km à Idomeni ...
Un convoi humaine sans fin est l'image de la route, 20 km avant les Evzones. À côté des voitures développer des vitesses élevées, les familles marchant avec leurs enfants sur les épaules, les bras, dans des charrettes. Certains pieds nus, d'autres avec des chaussures de chiliompalomena, les enfants qui viennent d'apprendre à marcher, invalides dans les voitures, tout le monde pensait qu'ils se rapprochent de la «rêve européen» si vous atteignez Idomeni.
Que faire si les bénévoles, les membres du HCR et Médecins sans frontières informent que la zone tampon sera forcé d'attendre pendant des jours parce que le «robinet», en termes de Macédoine, a resserré. Ils veulent être là, même si on leur dit que les Afghans ne passent pas ou dont ils auront besoin et d'y attendre.
Selon la police, environ 600 Afghans ont été "coupé" à ce jour et de rester dans le camp.
"Mieux vaut mourir en Grèce, mais de revenir», dit le 24 ans Karim désespérée. Avec un diplôme en littérature anglaise, il dit qu'il a échappé des talibans et a voyagé un mois pour obtenir ici et enfin de voir-off du voyage. Pleurant à côté de lui, le 36 ans Karimi se demandant pourquoi les n'a pas informé à l'avance qu'ils ne pouvaient pas passer.
«Nous avons dû nous arrêter en Turquie et nous dire que ce ne sera pas nous permettre d'aller à partir d'ici", dit-il.
Cependant, le camp est un séjour temporaire dans Eidomeni nous avons visité aujourd'hui et le consul allemand Ingo Von Foss, est le dernier jour bourré, avec plus de 1500 personnes. Les files d'attente sont énormes en face de la scène qui distribue de la nourriture et de l'eau, comme dans skini- "placard avec des vêtements," comme ils l'appelaient les bénévoles qui diacheirizontai- pour distribuer des vêtements et des chaussures. La queue est en face de la zone neutre, puisque les commandes en provenance du pays voisin sont devenus extrêmement strictes et ne peuvent passer les Syriens et les Irakiens ont un passeport ou d'identité et de leur mémoire. en effet soumis et le contrôle du corps tout fait et vérification approfondie de leurs papiers.
Seulement quelque chose jeunes filles qui sont assis à attendre leur tour, profiter de la journée ensoleillée. Ils sont heureux parce que «échappé à la guerre en Syrie" et nous avons été obligés de se rendre dans ces conditions difficiles. Ils sont habillés, ils ont fortement peint les yeux et porter des foulards colorés. Rêve arriver en Finlande, où sont leurs parents et de continuer avec leur vie.
Hébergement et station d'essence ...
Un autre, un grand camp a été mis en place à la station d'essence, à la hauteur de Polykastrou, qui est le premier arrêt de bus transportant des réfugiés d'Athènes. Déjà, le HCR a mis en place deux grandes tentes d'une capacité de 150-200 personnes chacune et 46 tentes familiales d'une capacité de dix personnes chacune. Dans le même temps, il y a 11 tentes chauffées MSF pour le séjour de personnes et certaines autres zones de médecins, utilisés pour les services.
En substance, il est le développement d'un camp pouvant accueillir environ 2000 personnes, et ont pénétré dans les toilettes et il y a des tentes pour les soins de santé primaires. "Je suis ici depuis quatre jours et je voyageais avec ma femme et mon enfant de 40 autres de l'Afghanistan», dit-Omour et demandez si vous devriez commencer à aller à pied jusqu'à la zone neutre, bien conscient du fait que les deux derniers jours a été interdite traversant les compatriotes.
Ally les seuls ... jours de beau temps que les réfugiés "verrouillé" trouver occasion de laver leurs vêtements et d'étirer les quelques arbres de la station d'essence et les enfants à oublier pour un moment, jouer au ballon, comme si allé contenir une excursion .. .
En terminant rail a progressé, il y a un certain temps, un groupe afghan Idomeni. Environ 150 personnes ont jeté des clôtures le long des lignes de chemin de fer, près du camp de Eidomeni pour protester contre l'interdiction de franchir la zone neutre.
Les Afghans étaient assis sur les lignes, déclarant déterminé à ne pas laisser, si pas autorisés à poursuivre leur voyage.
A quelques kilomètres de la frontière, des centaines d'Afghans qui ont voyagé pendant des mois de leur patrie, ils voient se dissiper leurs espoirs d'atteindre leur propre terre promise ...
Afghans enfermés dans un souffle du «rêve européen».
Au-dessus de la zone neutre Grèce - ARYM joué les derniers jours un autre drame: les gens qui ont voyagé des milliers de kilomètres de l'Afghanistan, crumble lorsque la police leur voisin dit que maintenant ne peut pas passer. Cela se traduit par la création de la frustration, que lorsque les Afghans se rendent compte qu'ils sont pris au piège, de protestation et provoqué des tensions.
D'autre part, à la station d'essence à la hauteur de Kilkis, qui ont débarqué plus de 3500 réfugiés, en attendant de les transporter de la zone neutre, des centaines de désespérés de retard prolongé, chargés de leurs maigres biens, ils obtiennent de leurs enfants main et début à pied pour parcourir la distance de 20 km à Idomeni ...
Un convoi humaine sans fin est l'image de la route, 20 km avant les Evzones. À côté des voitures développer des vitesses élevées, les familles marchant avec leurs enfants sur les épaules, les bras, dans des charrettes. Certains pieds nus, d'autres avec des chaussures de chiliompalomena, les enfants qui viennent d'apprendre à marcher, invalides dans les voitures, tout le monde pensait qu'ils se rapprochent de la «rêve européen» si vous atteignez Idomeni.
Que faire si les bénévoles, les membres du HCR et Médecins sans frontières informent que la zone tampon sera forcé d'attendre pendant des jours parce que le «robinet», en termes de Macédoine, a resserré. Ils veulent être là, même si on leur dit que les Afghans ne passent pas ou dont ils auront besoin et d'y attendre.
Selon la police, environ 600 Afghans ont été "coupé" à ce jour et de rester dans le camp.
"Mieux vaut mourir en Grèce, mais de revenir», dit le 24 ans Karim désespérée. Avec un diplôme en littérature anglaise, il dit qu'il a échappé des talibans et a voyagé un mois pour obtenir ici et enfin de voir-off du voyage. Pleurant à côté de lui, le 36 ans Karimi se demandant pourquoi les n'a pas informé à l'avance qu'ils ne pouvaient pas passer.
«Nous avons dû nous arrêter en Turquie et nous dire que ce ne sera pas nous permettre d'aller à partir d'ici", dit-il.
Cependant, le camp est un séjour temporaire dans Eidomeni nous avons visité aujourd'hui et le consul allemand Ingo Von Foss, est le dernier jour bourré, avec plus de 1500 personnes. Les files d'attente sont énormes en face de la scène qui distribue de la nourriture et de l'eau, comme dans skini- "placard avec des vêtements," comme ils l'appelaient les bénévoles qui diacheirizontai- pour distribuer des vêtements et des chaussures. La queue est en face de la zone neutre, puisque les commandes en provenance du pays voisin sont devenus extrêmement strictes et ne peuvent passer les Syriens et les Irakiens ont un passeport ou d'identité et de leur mémoire. en effet soumis et le contrôle du corps tout fait et vérification approfondie de leurs papiers.
Seulement quelque chose jeunes filles qui sont assis à attendre leur tour, profiter de la journée ensoleillée. Ils sont heureux parce que «échappé à la guerre en Syrie" et nous avons été obligés de se rendre dans ces conditions difficiles. Ils sont habillés, ils ont fortement peint les yeux et porter des foulards colorés. Rêve arriver en Finlande, où sont leurs parents et de continuer avec leur vie.
Hébergement et station d'essence ...
Un autre, un grand camp a été mis en place à la station d'essence, à la hauteur de Polykastrou, qui est le premier arrêt de bus transportant des réfugiés d'Athènes. Déjà, le HCR a mis en place deux grandes tentes d'une capacité de 150-200 personnes chacune et 46 tentes familiales d'une capacité de dix personnes chacune. Dans le même temps, il y a 11 tentes chauffées MSF pour le séjour de personnes et certaines autres zones de médecins, utilisés pour les services.
En substance, il est le développement d'un camp pouvant accueillir environ 2000 personnes, et ont pénétré dans les toilettes et il y a des tentes pour les soins de santé primaires. "Je suis ici depuis quatre jours et je voyageais avec ma femme et mon enfant de 40 autres de l'Afghanistan», dit-Omour et demandez si vous devriez commencer à aller à pied jusqu'à la zone neutre, bien conscient du fait que les deux derniers jours a été interdite traversant les compatriotes.
Ally les seuls ... jours de beau temps que les réfugiés "verrouillé" trouver occasion de laver leurs vêtements et d'étirer les quelques arbres de la station d'essence et les enfants à oublier pour un moment, jouer au ballon, comme si allé contenir une excursion .. .
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